Le numéro trois de la Gendarmerie nationale a appris mercredi à l'issue du Conseil des ministres, qu'il devait quitter son poste dans les prochaines semaines. En cause : ses prises de position l'hiver dernier devant l'assemblée nationale, ou celui-ci a estimé, chiffres à l'appui, que la réponse pénale était parfois en décalage avec les réalités du terrain.
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