Ils sont comptables, commerciaux, ingénieurs ou responsables aux ressources humaines. Surtout, ils sont venus en nombre, plus de 10.000, plus nombreux que les cheminots grévistes, pour aider dans les gares les clients désorientés par les perturbations qui durent depuis plus d'une semaine. Les clients de la SNCF n’y voient généralement que du feu. On les appelle, les "gilets rouges".