Le clair visage de la mort plane tranquille et aérien comme une aile. Une solitude parfaite est programmée. Le rideau est tombé. L'objectif passe de l'autre côté du miroir pour une incursion étrange et inquiétante. Le viseur s'infiltre, sous les linceuls et suaires blancs, sous les voiles noires, dans un univers silencieux et figé, un immense cercueil. Un trait est tiré. Et si on ne rencontre jamais le regard c'est que, on le sait bien, le soleil ni la mort ne se regardent en face.
Texte, Images, Voix :© Foissey