Le procès de l'urgentiste Nicolas Bonnemaison s'est ouvert mercredi matin, à Pau. Le médecin est poursuivi pour avoir "empoisonné" sept de ses patients en fin de vie à l'hôpital de Bayonne. Le docteur Bonnemaison a assuré ne pas être militant de l'euthanasie, aucune des familles des victimes n'a porté plainte. Ce médecin, âgé de 53 ans, encourt la réclusion criminelle à perpétuité.