A Bordeaux, une quarantaine de demandeurs d'asile se sont installés dans des wagons désaffectés. Pour certains de ces Sahraouies, cela fait huit, voire neuf mois que cela dure. Ils sont pourtant en règle, ils touchent même 300 euros d'aide tous les mois, trop peu pour vivre. "Avec cet argent-là, il faut que l'on choisisse entre payer le loyer ou de la nourriture", a déclaré l'un de ces demandeurs d'asile.