Pour la cinquième fois de sa carrière, David Cronenberg se lance dans la compétition du festival de Cannes avec une satire sanglante de l'univers parallèle que constitue Hollywood. On y retrouve cette confusion entre le réel et le virtuel et cette fascination pour la monstruosité que le cinéaste canadien a nourries tout au long de sa filmographie. L'analyse des critiques du "Monde", Isabelle Regnier et Jean-François Rauger.
Images : Olivier Clairouin / Le Monde.fr - dimanche 18 mai 2014