Enrico Macias - Non je n'ai pas oublié -1966
La ville blanche écrasée de soleil
Où un jour, je suis né
Les rues en pente le pont sur le Rhumel
Les jardins d'orangers
Non je n'ai pas oublié
Bien que ma vie ait changé
Mais le silence est souvent une façon d'aimer
Non, non, non,
Non je n'ai pas oublié
Tous ces visages attristés
Mais on n'a pas le droit de sacrifier
Le présent au passé
La rue qui chante l'été venu
N'oublie pas l'hiver brutal
Et les blessures que l'on ne voit plus
Lui font encore bien mal
Tant d'espérance tout à coup balayée
Par un vent de folie
Tant d'innocence tout à coup étonnée
D'implorer le sursis
Non je n'ai pas oublié
Bien que ma vie ait changé
Mais le silence est souvent une façon d'aimer
Non, non, non,
Non je n'ai pas oublié
Tous ces visages attristés
Mais on n'a pas le droit de sacrifier
Le présent au passé
Quand un orage assombrit le ciel,
II faut que tombe la pluie
Avant de retrouver au soleil
L'envie d'aimer la vie
Tous ces liens qui ont tressé
La chaîne qui tenait le bateau
Tous ces liens qui ont craqués
En laissant sur le quai nos berceaux
Non je n'ai pas oublié,
Bien que ma vie ait changé
Mais le silence est souvent
Une façon d'aimer
Non, non, non
Non, je n'ai pas oublié
Et je n'oublierai jamais
Mais aujourd'hui vous et moi
Ne pouvons rien changer
Non, non, non
Non, je n'ai pas oublié
Et je n'oublierai jamais
Mais aujourd'hui vous et moi
Ne pouvons rien changer
Non, non, non
Non, je n'ai pas oublié
Et je n'oublierai jamais
Mais aujourd'hui vous et moi
Ne pouvons rien changer
Non, non, non
Non, je n'ai pas oublié
Et je n'oublierai jamais
Mais aujourd'hui vous et moi
Ne pouvons rien changer