FRANCE 24 a rencontré quelques-uns des 9 000 candidats en lice pour les législatives irakiennes du 30 avril. À travers leurs discours, les clivages et les rancœurs entre chiites et sunnites restent très présents.
L'Irak s'apprête à renouveler, mercredi 30 avril, les 328 sièges de son Parlement dans un climat de violences intercommunautaires sans précédent depuis 2008. Sans surprise, l'enjeu de ces législatives, les premières sans la présence des troupes américaines, est le poste de Premier ministre. Accusé d'être sectaire et tyrannique à l'égard de la communauté sunnite, répressif à l'encontre de ses rivaux chiites, le chiite Nouri al-Maliki, au pouvoir depuis huit ans, est le grand favori du scrutin.
L'actuel chef de gouvernement a principalement axé sa campagne sur la sécurité, le thème qui préoccupe ses partisans. Des chiites très sensibles au "Tous ensemble contre le terrorisme" sur lequel surfe Nouri al-Maliki pour se maintenir au pouvoir. Plusieurs attentats ont visé des bureaux de vote, lundi 28 avril, jour de l'ouverture du scrutin pour les forces de sécurité. Ces violences ont fait 79 morts ces dernières 24 heures.
FRANCE 24 a rencontré quelques-uns des 9 000 candidats en lice pour ce scrutin. À travers leur discours transparaissent les clivages et les rancœurs entre chiites et sunnites.
Parmi eux, Mohammed al-Ogaili, candidat de la coalition de l'État de droi... Lire la suite sur notre site web.
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