Le navire norvégien n’a encore rien trouvé : le “St Petersburg” est arrivé le premier sur les lieux où ont été repérés de possibles débris de l’avion malaisien disparu. Le bateau qui s’est dérouté pour participer à l’enquête cherche jour et nuit, avec des projecteurs, les objets photographiés par les satellites. Le plus gros fait 24 mètres de long. Ils flottent à 2500 km de la ville de Perth au sud-ouest de l’Australie.
Le ministre des Transports malaisien juge la piste australienne crédible :
“Tous les efforts seront faits pour localiser les objets observés par les satellites. Il est indispensable que ces informations crédibles soient encore confirmées”, a déclaré Hishammuddin Hussein, ministre malaisien des Transports.
Le Boeing 777 de la Malaysia Airlines a disparu un heure après son décollage de Kuala Lumpur, et s’il est confirmé que ce sont ces débris au large de l’Australie, il aura volé plusieurs heures après sa disparition des radars.
Le mystère n’en sera alors que plus entier, et le calvaire pour les proches des 239 personnes à bord plus difficile encore à supporter.