L'ancienne première dame s'est exprimée mardi lors d'une conférence de presse. Elle a souhaité ainsi manifester son opposition au redécoupage électoral des cantons. Une réforme qui prévoit la suppression de son canton de Corrèze, dont elle est l'élue depuis 34 ans. Se sentant trahie et blessée par Manuel Valls, qu'elle tient pour responsable, Bernadette Chirac s'est montrée menaçant. Elle a promis de "dire un certain nombre de choses" puis de "s'effacer" si elle ne parvenait pas à sauver son territoire électoral.