Dans les rues de Bangui, le calme est revenu. Les autorités ont donc demandé aux centaines de milliers de déplacés de partir des camps et de regagner leur domicile. Mais pour beaucoup, la sécurité n'est pas encore assez présente. Pour ces Chrétiens, réfugiés parfois à quelques kilomètres de leurs maisons, l'heure n'est pas encore au retour.