Ils sont près de 6.000 expatriés au Cameroun et l'enlèvement d'un prêtre français, dans la nuit de mercredi à jeudi, les a touchés mais pas inquiétés. La vie continue pour les Français sur place, même s'ils pourraient devenir une cible privilégiée pour les groupuscules terroristes, et servir de monnaie d'échange.