Alors qu'il devait comparaître devant ses juges, en même temps que 14 hauts responsables des Frères musulmans, pour "incitation à la violence et au meurtre", l'ex-président islamiste Mohamed Morsi a vu son procès être ajourner à janvier 2014. Avant l'annonce du tribunal, installé dans les locaux de l'Académie militaire du Caire, quelques échauffourées avaient éclaté entre les partisans de l'ex-chef de l'Etat et ses opposants.