Déjà touchés par une forte mortalité du naissain, les ostréiculteurs ne peuvent plus vendre leur produit depuis près de trois semaines à cause une toxine. Ils voient en arriver une autre dans les prochaines semaines, le dinophysis, et avec lui peut-être une nouvelle interdiction de vente... Dans cette conjonction plus que morose, Christian Ducos, vice-président du comité de survie de l'ostréiculture et professionnel à Saint-Philibert, livre son témoignage et son analyse.
Le reportage vidéo de Catherine Lozac'h