En ouverture de la soixante-huitième Assemblée générale des Nations Unies, le président de la République François Hollande s'est exprimé devant les représentants des diplomaties étrangères auxquels il a posé 3 exigences pour la Syrie. Le chef de l'Etat est également revenu sur le dossier iranien et celui, moins médiatique, de la République centrafricaine.