Alors que la prise d'otages "pourrait toucher à sa fin" selon plusieurs sources issues des forces Kenyanes, la bataille se joue aussi sur le terrain de la communication... et sur Twitter.
Les ravisseurs, issus du mouvement islamiste des chabab somaliens, liés à Al-Qaida, qui ont revendiqué l'attaque, ont publié plusieurs messages sur un compte twitter. Régulièrement fermé par les autorités, et aussitôt rouvert par les terroristes, ce compte donne des informations sur les otages et sert visiblement aux assaillants pour se "moquer" des forces Kényanes.