Alors que l’affaire du trafic de viande de cheval impropre à la consommation des Ardennes vers deux abattoirs du Gard et de l’Hérault (Alès et Pézenas) semble de jour en jour s’avérer, la filière cheval du Languedoc-Roussillon monte au créneau. Si les services sanitaires se veulent rassurants indiquant qu’à ce jour aucun problème sanitaire n’est à craindre, le Conseil des équidés Languedoc-Roussillon pose deux problèmes de fond. la suite à lire sur www.mlactu.fr