"Tout doit être fait pour une solution politique, mais elle ne viendra que si (...) la communauté internationale est capable de marquer un coup d'arrêt par rapport à l'escalade de la violence dont ce massacre chimique n'est qu'une ilustration", a déclaré le président français, après un entretien avec le chef de la Coalition nationale syrienne, Ahmad al-Assi al-Jarba.