Des travaux avaient déjà démontré l'existence d'une relation entre une durée de sommeil assez courte et une fréquence plus élevée de pathologies cardio-vasculaires, comme par exemple l'hypertension. L'étude expérimentale qui vient d'être menée au Laboratoire du Sommeil de l'hôpital Vésale de Charleroi permet de mieux comprendre les mécanismes de cette relation.