Al Qarra - A Libreville, la pénurie de logement entraîne depuis plusieurs années une recrudescence des bidonvilles. Des habitations dites informelles qui, le plus souvent, sont dépourvues de l’eau courante.
Face à ce déficit de logements décents, le gouvernement gabonais s’est engagé en 2010 à construire 5000 logements à faible coût par an. Une promesse de campagne du président Ali Bongo.
Cet habitant du bidonville Akebe Frontière salue cette initiative. Mais il estime que les coûts restent trop élevés.