L’ancien chef de l’État Nicolas Sarkozy, dont les comptes de campagne ont été rejetés définitivement jeudi par le Conseil constitutionnel, a qualifié vendredi dans un message sur sa page Facebook la situation d’»inédite sous la Ve République» et a promis de s’engager pour garantir «une expression démocratique libre dans notre pays». Son retour en politique est-il compromis ? Votre avis dans les rues de Metz.