Intervention d'Alexandre régional lors de l'assemblée plénière du conseil régional Rhône-Alpes le 30 mai 2013 après une intervention de la gauche contre les Français refusant l'infâme Loi Taubira et notamment contre le plus jeune conseiller régional de France.
« Je ne sais pas si j’étais visé dans ces propos puisque mon nom n’a jamais été cité.
Mais dans le doute je vais faire une courte réponse.
Je voudrais déjà vous rappeler la définition de police politique : « utilisée pour maintenir le pouvoir en place et au lieu de protéger l’État de droit »
Une deuxième définition, celle de répression politique : qui est « l’oppression ou la persécution d’un individu ou d’un groupe pour raisons politiques, particulièrement pour restreindre ou prévenir la possibilité qu’il puisse participer à la vie politique de la société. »
Il y a eu une manifestation lundi contre M. Hollande à Paris. Manifestation qui a donné lieu encore une fois à des centaines d’arrestations injustifiées et arbitraires, de femmes enceintes, de mères de famille, de prêtres aussi mais aussi je tiens à le signaler, d’une militante nationaliste qui s’appelle Lauranne, et qui a une spécificité c’est qu’elle est atteinte de cécité. Elle a été interpellée et placée en garde-à-vue et sera sans doute convoquée devant un tribunal, pour possession d’arme blanche non classifiée. En effet son arme blanche était... blanche puisque c’était sa canne qui lui permet une autonomie de circulation et de vie.
Vous avez décidé de tenter de nous abattre, car vous savez que si vous ne le faites pas en premier, nous, nous, chargerons de ce système corrompu et mortifère dont vous êtes les artisans. Pour chaque militant arrêté, d’autres nous rejoignent grâce à l’exemplarité du combat qui est mené. Le combat est loin de s’achever, car la route est droite, et elle nous mènera à la victoire, à celle de la France ressuscitée, par un beau matin de printemps français… Pour ce qui est de mes accointances avec la « république », je tiens juste à préciser que je veillerai si nous arrivons au pouvoir et le jour de la Libération, à ce que ce conseil régional reste ce qu’il est aujourd’hui : à savoir un magnifique théâtre. »