Le printemps se fait désirer, le soleil également. Conséquence, la consommation d'énergie des ménages ne diminue pas et enregistre, au contraire, une hausse inhabituelle en cette période de l'année. Le manque de luminosité, on parle de 50 % d'ensoleillement en moins, ainsi que la fraîcheur des températures contraignent les Français à s'éclairer et se chauffer deux fois plus qu'à l'accoutumée. Un gouffre pour le porte-monnaie. Détails.